Selon leur ex-producteur : Dirk Wrighenz baptisé (à juste titre ) par les médias le Michel Foucault de l’acid house, "Le groupe accumule les atouts, tout d'abord, leur musique est originale, leurs boucles sont engagées, elles démontrent le malheur de ceux qui ont perdu leurs synthétiseur moléculaires, ce qui est toujours une expérience enivrante...". Pour les fans de Tropicale Mentale Dance, interviewés par notre correspondant à Antwerp (ou le groupe se produisait régulièrement à la grande époque), la magie alchimique de CONDOR doit tout à son charisme quasi osmotique ainsi qu’à leur voix particulière et à l’éminence de ses membres ". Ce qui, avouons le, est un atout pour continuer à exister depuis l’épopée New Beat belge des année 90’.